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Depuis combien de temps travaillez-vous dans le domaine de l’assurance, et plus particulièrement chez Courtika ?
Après mes études en animation télé et radio dans une école spécialisée, j’ai travaillé dans le domaine des ventes, avant de me lancer en affaires. Un de mes amis était alors directeur général d’une compagnie d’assurances. Il me taquinait chaque fois qu’il me voyait, et me disait qu’il m’imaginait bien dans son domaine. Quand j’ai décidé de vendre mon entreprise, je me suis laissé tenter par son offre. Je travaille maintenant dans ce secteur depuis 10 ans, et pour Courtika depuis 3 ans, à titre de courtier en assurance agricole. J’agis comme conseiller auprès des entreprises. J’aime beaucoup ce rôle.
Vous avez une formation en communication, avec spécialisation en animation radio et télé. Comment cette formation vous est-elle utile dans votre travail ?
Ma formation m’a apporté une aisance à communiquer, à entrer en relation avec les gens, et surtout à poser les bonnes questions et à écouter pour bien comprendre leurs besoins. C’est d’ailleurs l’une de mes forces : je suis très présent auprès de mes clients, que je rencontre régulièrement, parce que j’ai à cœur de leur offrir un service personnalisé. La relation que j’entretiens avec eux est essentielle. Comme je comprends bien leur réalité, je peux leur proposer les meilleurs produits d’assurance pour leurs besoins, et mieux les accompagner en cas de perte majeure.
En tant que spécialiste en assurances des PME, quels sont vos principaux conseils aux entreprises agricoles en démarrage ?
Quand on vient tout juste d’acquérir une exploitation agricole, c’est important de bien établir la valeur de ses biens pour être protégé adéquatement. Plutôt que de se baser sur la valeur marchande ou la valeur de revente, il faut faire évauler les biens, au coût de reconstruction, par des professionnels, afin de proposer des montants d’assurances et des protections adéquates. Je suggère aussi de budgéter ses assurances comme une dépense d’entreprise, puisqu’elles servent à protéger ses actifs.
La grande majorité de vos clients proviennent des Cantons-de-l’Est et du domaine agricole. Quelle recommandation auriez-vous à leur offrir ?
La notion de confiance est primordiale. Je suggère aux entrepreneurs agricoles de vérifier que leur courtier possède l’expertise et l’expérience nécessaires pour saisir leur réalité et leur offrir le meilleur programme d’assurances pour protéger leurs biens, comme leurs bâtiments, leurs animaux, leur équipement agricole ou leurs revenus. C’est le cas chez Courtika, où plusieurs courtiers, comme moi, ont une spécialisation dans ce domaine.
Vous faites partie du groupe musical de Courtika, The Bad Brokers. Pourquoi cette activité est-elle importante pour vous, pour votre cabinet ?
J’ai formé The Bad Brokers avec des collègues. Je suis le chanteur du groupe. Depuis environ deux ans, on ajoute une touche musicale aux événements internes de l’entreprise, comme les 5 à 7 sur le toit, qui réunissent les équipes des différents bureaux du cabinet. C’est une bonne façon de tisser des liens !
Vous êtes aussi très impliqué dans votre communauté. Qu’est-ce qui vous motive ? Courtika vous soutient-elle dans vos actions ?
C’est important redonner à sa communauté, surtout dans de petites municipalités comme Coaticook ! C’est pourquoi j’ai participé à la création de la radio coopérative CIGN FM, en plus de m’impliquer à la Fondation du CSSS de la MRC-de-Coaticook. J’organise aussi, depuis une vingtaine d’années, des concerts de Noël dont les profits sont remis au programme Nourrir l’avenir d’un enfant du Club Lions. Courtika encourage ces initiatives, car elles correspondent aux valeurs de l’entreprise. Par exemple, le cabinet n’hésite pas à partager nos campagnes de collectes de fonds avec l’ensemble des employés et à nous supporter financièrement dans notre région afin de faire connaître notre entreprise.
Quelles sont vos plus grandes sources de fierté dans votre travail de courtier en assurances chez Courtika ?
Quand je suis arrivé chez Courtika, j’ai remplacé un courtier qui avait pris sa retraite après 30 ans de service. J’ai réussi à conserver une majorité de ses clients, ce qui est plutôt rare dans ce genre de contexte. Je suis particulièrement fier d’avoir réussi à obtenir leur confiance !
Vous avez besoin de conseils pour protéger votre ferme ou fermette, vos terres ou vos équipements agricoles ? Contactez-nous pour en savoir plus sur les différentes couvertures offertes en fonction de votre réalité !